Jazz, les échelles du plaisir
Site-compagnon du livre paru aux Editions La Dispute (2013)
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  • Accueil
  • Chapitre Un
    • 1. Histoires du jazz en France : le choix des dates
    • 2. L’expansion des cafés-concerts (1850-1913)
    • 3. Comment l’esthétique advint aux « indigènes » (fin 19e)
    • 4. Apprivoiser le cake-walk (1903)
    • 5. Un échec significatif : le Kikapoo « indien » de 1904
    • 6. Le retour racisé du refoulé « populaire » (1903… 2013 ?)
    • 7. La doxa du cake-walk en mots et en images (1903-1904)
  • Chapitre Deux
    • 1. Louis Mitchell et ses Jazz Kings (1917)
    • 2. Un succès inaugural : la revue Laisse-les tomber ! (1917)
    • 3. La revue à grand spectacle mise en film (1927)
    • 4. Une critique de music-hall émergente (1921-1922)
    • 5. La gymnastique des avant-gardes : Jaques-Dalcroze et Appia (années 1910-1920)
    • 6. Le « jazz-bandisme » de Jean Cocteau : un exemple à ne pas suivre (1918-1919)
    • 7. La Grande Guerre : une présence massive de différentes catégories de « Noirs »
    • 8. Des flons-flons africains-américains : des orchestres militaires noirs (1917-1919)
    • 9. Le rythme pulsé selon Sem (1923) et Mac Orlan (1927)
    • 10. Le dancing d’après Aragon, Baron et Leiris (années 1920)
    • 11. Quand le jazz-band attise les désirs (années 1920)
    • 12. Le ragtime comme musique nationale (1922, 1924)
    • 13. Une enquête sur le jazz-band (1925)
    • 14. La « culture raciale » : un schème lettré disponible (1931)
    • 15. Primitivisme lettré et érotique du jazz-band : La Revue Nègre (1925)
  • Chapitre Trois
    • 1. Opérations à cœur ouvert : Schaeffner et Hoérée analysent le jazz-band (1926-1927)
    • 2. L’élaboration de la catégorie « jazz hot » par les classifications discographiques (1929, 1931)
    • 3. Stéphane Mougin et l’organisation professionnelle d’un marché musicien du jazz
    • 4. Hugues Panassié, ou la fondation d’un genre esthétique : que « faut-il » écouter ? (1930)
    • 5. La transposition textuelle de la conférence-audition selon Hugues Panassié (1935)
    • 6. La fondation du label Swing (1937)
    • 7. L’institution du jazz hot selon André Schaeffner (1935)
  • Chapitre Quatre
    • 1. De la scène au studio : Chevalier vs. Trénet (1937-1938)
    • 2. Les premières chansons « juvéniles » (1939, 1941)
    • 3. De nouvelles missions pour le Hot Club de France (1945)
    • 4. André Hodeir et le jazz comme « langage musical » (1945)
    • 5. L’événement bebop : le premier concert parisien de Dizzy Gillespie (1948)
    • 6. Claude Roy et Roger Vailland : le jazz comme hétérodoxie communiste (ca 1950)
    • 7. L’impossible organisation collective des musiciens de jazz (1946-1965)
    • 8. Le déploiement du Hot Club de France dans l’édition et la production (à partir de 1948)
    • 9. Juger le public : les critiques contre la vulgarité des fans (années 1950)
    • 10. L’appel du rock : les intermédiaires du jazz investissent les variétés juvéniles (ca. 1960)
    • 11. Les publics d’une « culture libre » (années 1950)
  • Chapitre Cinq
    • 1. Une nouvelle offre esthétique à Paris (1958-1960) : hard bop, jazz modal, free jazz
    • 2. L’expérimentation avant-gardiste selon Ornette Coleman (1960)
    • 3. Les réceptions de Coleman et Coltrane, ou le dessin d’une frontière esthétique (1960-1963)
    • 4. Bernard Vitet et François Tusques sur la gestation du free jazz français (ca. 1965)
    • 5. Le formalisme de la génération critique du free jazz (1960)
    • 6. Souvenirs du dispositif « jazz action » (années 1970)
    • 7. Les engagements de François Tusques après mai 1968
    • 8. Alfred Willener : le free jazz et la société nouvelle (1970, 1973)
    • 9. Le Festival Panafricain d’Alger (21-27 juillet 1969)
    • 10. Le festival « pop et free » d’Amougies (octobre 1969)
    • 11. Le jazz et l’action culturelle : Annecy Jazz Action 1969-75
    • 12. L’émergence de l’animation socio-culturelle (années 1960)
    • 13. Le dispositif jazz action, les réseaux « alternatifs » et les valeurs de service public (années 1970)
    • 14. Les enjeux de la catégorie de musique improvisée « européenne » (années 1970)
  • Chapitre Six
    • 1. Une commission « créative » (1982)
    • 2. L’enthousiasme du JAPIF (1982)
    • 3. Variations sur la partition « patrimoniale » (1994)
    • 4. Un espace marseillais du jazz (ca. 2000)
    • 5. La formation d’un « patron » de jazz-club
    • 6. La patrimonialisation d’un jazz marseillais : points de vue sur un « âge d’or » (années 1990)
    • 7. Images du Pelle-Mêle (années 1990)
    • 8. Du concert à sa qualification collective
    • 9. Le sexe du jazz selon ses théoriciens
  • Chapitre Sept
    • 1. La création d’Instants Chavirés (1987-1991)
    • 2. L’avant-garde selon Jazz Ensuite (1983-1984)
    • 3. B. Delbecq et G. Orti à Instants Chavirés (1991-2001)
    • 4. Mercoledi : la fabrique d’une bande (1993-98)
    • 5. Entrer ou non dans la bande des Instants : deux trajectoires comparées
    • 6. Instants chavirés de l’ancienne à la jeune avant-garde (1991-2001)
    • 7. Un héroïsme institutionnel : Instants Chavirés et les musiques actuelles
    • 8. Julien Lourau, de la bande des Instants à la disqualification (1991-1998)
    • 9. La politisation d’Instants Chavirés (1996-1997)
    • 10. Instants Chavirés et le postrock (1994-1999)
    • 11. La mobilisation des « anciens radicaux » (1996-2001)
    • 12. Les labels In Situ et NATO à Instants Chavirés (1991-2001)
    • 13. Les musiques improvisées radicalisées en 1993
    • 14. Formalisations de la prise « impro » : subvertir les catégories (1996-2003)
  • Echanges
  • Contact
  • L’auteur

Chapitre Deux

Affiche de la Revue Nègre (1925)Les puissances d’évocation du jazz-band (1917-1926)

1. Louis Mitchell et ses Jazz Kings (1917)

2. Un succès inaugural : la revue Laisse-les tomber ! (1917)

3. La Revue des Revues : la revue à grand spectacle mise en film (1927)

4. Rhétorique d’une critique de music-hall émergente

5. La gymnastique des avant-gardes : Appia et Jaques-Dalcroze (années 1910-1920)

6. Le « jazz-bandisme » de Jean Cocteau (1918-1919)

7. La Grande Guerre : une présence massive de différentes catégories de « Noirs »

8. Des flons-flons africains-américains (1917-1919)

9. Le rythme pulsé selon Sem (1923) et Mac Orlan (1927)

10. Le dancing d’après Louis Aragon, Jacques Baron, Michel Leiris (années 1920)

11. Quand le jazz-band attise les désirs (années 1920)

12. Le ragtime comme musique nationale (1922, 1924)

13. Une enquête sur le jazz-band (1925)

14. La « culture raciale » : un schème lettré disponible (1931)

15. Primitivisme lettré et érotique du jazz-band : La Revue Nègre (1925)

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